Pour ce premier jour de voyage, notre vol à Paris est à 8h ce qui nous permet d'arriver tôt: à 9h30 heure locale nous voici en Islande !
Notre 4X4 camper nous attend tout près de là , chez JS camper.
Agust très sympa nous explique tout et nous voilà partis ! On s'arrête 1 km plus loin pour faire les courses au supermarché Bonus... mais il nous faut attendre 20 mn car il n'ouvre qu'à 11h ! C'est une des spécificités islandaises, les magasins ouvrent tard, en général à 10h.
Une petite heure plus tard nous attaquons la péninsule par le Nord, vers le phare de Gardur, puis nous longeons la cote Ouest vers le Sud . Les paysages sous le soleil sont splendides, on croise déjà quelques oiseaux...
A Reykjanesta près de l'église nous découvrons un champ de boues bouillantes autour d'une centrale géothermique, on se ballade avec émerveillement au milieu des fumées de souffre et du bruit du bouillonement , dans un décor hallucinant !
On poursuit par le champ géotermique de Seltun après le magnifique lac de Kleifarvatn.
Direction ensuite Reykjavik pour acheter une carte plus précise. On se gare un peu loin avec notre gros camper et on marche le long de la rue commercante jusqu'à l'office de tourisme où on trouve notre bonheur.
Départ ensuite vers Borganes pour être d'attaque le lendemain !
On trouve un joli coin vers Hofn avant Borganes pour s'installer face à la mer.. Les 3 fermes face à nous ne sont pas très accueillantes : des barrières nous empêchent d'aller jusqu'au rivage, et un panneau nous promet les pires ennuis si on passe le portail ... mais on a un paysage splendide sous les yeux, du soleil, on est heureux !
Info utile: louer un 4X4 camper c'est cher, mais on peut avoir une réduction en payant avant le mois de janvier!
Petite halte près de Snorrastadir pour découvrir de loin le cratère de l'Eldborgarhraun : tapissé de verdure, il domine un vaste champ de lave. Mais nous ne l'approcherons pas car il faut marcher un moment et nous avons hâte de nous rendre dans la péninsule.
Premier arrêt Ytri Tunga, réputés pour ses phoques qui se prélassent dans la baie. Il y a déjà un car et des voitures, nous révions de l'Islande déserte, il faut croire que le tourisme a bien progressé et nous sommes décus de ne rien voir à part quelques canards. On se promène un peu sur le rivage et soudain, un rocher nous intrigue... les jumelles nous permettent de découvrir qu'il s'agit d'un phoque, bien tranquille au milieu de la baie qui nous regarde. Finalement, un peu plus loin, nous découvrons deux autres phoques qui eux se prélassent au soleil.
Nous nous arrétons à la source chaude de Lysuholl, pour profiter de la piscine thermale, très agréable et tranquille, l'eau n'est pas traitée, et les bords de la piscine sont un peu gluants, des algues ont colonisé les bords et les fonds, mais cela n'est pas génant, tout est très propre.
Puis on roule vers Arnarstrapi , les paysages sont magnifiques, de grandes baies de sable s'étendent sous nos yeux au pieds des pentes couvertes de lave aux allures parfois très étonnantes et couvertes en partie de mousse. 
Des pitons volcaniques aussi parsèment le paysage.
Après un arrêt à Bùðir on arrive à Arnarstapì, où l'on déjeune dans un petit restau très sympa mais bruyant : soupe et burger frite .
On décide ensuite d'aller approcher le glacier Snaefelljökull en traversant la péninsule par la piste 570. 
Ca grimpe vite et on a une vue superbe de la vallée que l'on vient de quitter mais rapidement, on entre dans le nuage qui enveloppe la montagne et on n'en sortira qu'en resdescendant de l'autre coté. Nous n'aurons donc pas la chance de voir ce magnifique glacier de Snaefelljökull surnommé le fuji yama islandais, mais, dans le brouillard, nous traversons les langues glaciaires qui s'en échappent et qui ont été taillées pour laisser passer les voitures ! C'est très étonnant !
Et dès que l'on passe de l'autre coté, on retrouve le soleil et le ciel bleu!
Nous reprenons la route 54 sur la cote nord et trouvons notre camp pour la nuit après Grundarfjordur sur la péninsule après Setberg, sur la dernière partie de la piste presque inhabitée. On est face au fjord, c'est très beau et tranquille.
Il pleut une bonne partie de la nuit, mais le lendemain matin on a droit à une petite accalmie qui permet de se préparer tranquillement au sec.
C'est difficile parfois de trouver un lieu pour camper du fait des clotures qui bordent toutes les routes et empêchent d'entrer sur les (rares) chemins et ailleurs le dénivellé trop important à partir de la route ou les sols de laves ne permettent pas de passer, même en 4x4.
Nous avons réservé le ferry pour 15h45, nous avons donc largement le temps ce matin de nous rendre à Stykkisholmur.
Nous passons par la route qui longe le littoral et visitons le musée du requin fermenté indiqué dans notre guide du routard à Bjarnarhöfn. C'est 900 ISK par personne et vraiment sans intérêt : c'est un hangar dans lequel fourmille un bric à braque qui va de la petite poupée au bateau de pêche traditionnel en passant par une machine à écrire et au milieu du hangar deux petits pots sur une table dans lequel on trouve des dés de requin et des dés de pain qui nous permettrons quand même de déguster le requin fermenté. Ca a un fort goût de camembert bien mûr, ce n’est pas mauvais. Une Islandaise nous explique quand même rapidement, photos à l'appui, le procédé : découpé en morceaux le requin est mis au froid pendant plusieurs semaines puis laissé sécher. On voit quelques mâchoires et de la peau de requin et on découvre par hasard sur une table un tas d'affiches que l'on feuillette qui expliquent que le la chair du requin est toxique mais qu'avec ce procédé l’acide urique est éliminée et il peut être consommé.
Ce musée du requin est en fait l'accumulation d'objets appartenant à une famille de pêcheurs de requin, pas très pédagogique et cher !
Un peu plus loin, sur la péninsule, le mont Helgafell est un bel endroit. Il faut l'escalader sans se retourner et sans dire un mot, puis faire 3 vœux. Mais comme on a lu l'histoire après, on n'a pas suivi les consignes !!!! Le temps n'est pas splendide mais on a quand même une belle vue. Un livre d'or est installé en haut sur les ruines d'une église, dans une boite en plastique bien hermétique !
Direction ensuite la piscine de Stykkisholmur, pour une bonne douche et un bon bain chaud, en plein air bien entendu !
On déjeune au restau Narfeyrarstafa, des pâtes aux poissons et le poisson du jour, c'est un régal !
Après une petite balade sur le port, puis à la bibliothèque de l'eau pour voir les colonnes de verre de l'artiste Roni Horn contenant l'eau d'un glacier, il est l'heure d'embarquer.
Les voitures sont vraiment imbriquées les unes dans les autres et on nous fait embarquer les derniers, on a eu peur qu'ils nous laissent sur le quai tellement cela paraissait impossible de faire rentrer toutes les voitures, mais non, ça tient pile poil !
On trouve un beau coin sur une plage de sable pour camper sur la route de Latrabarj prévu pour demain !
Info pratique: Si on passe en voiture mieux vaut réserver le ferry avant, par internet c'est simple, et on retire le billet 30 mn avant sur le port.
- La piste vers Látrabjarg est assez impressionnante par endroit : route vertigineuse, sol de terre rouge, glissant avec la pluie et on met plus d'une heure pour atteindre le site. L'horizon est bouché mais par endroit, on peut admirer les larges vallées sur fond de sable, la mer turquoise, c'est magnifique.
Un arc en ciel nous surprend un instant sur la falaise, le temps de sortir les appareils photos et il disparaît !
- On va jusqu'au bout de la route, et on découvre la falaise où nichent des milliers de macareux qui se laissent approcher et photographier ! ils creusent leurs terriers dans la terre du haut de la falaise. Il faut cependant veiller à ne pas marcher sur le bord de la falaise qui s'effondre régulièrement.
- Au retour, on s'arrête déjeuner à Breidavik, une maison qui fait chambre d'hote, camping et café restau, pas de choix mais une soupe de chou fleur délicieuse accompagnée d'un très bon pain fait maison nous convient très bien. Dans la salle du restau on a une vue magnifique sur la plage et l'océan;
- sur le chemin du retour on prend la piste 614 qui traverse la péninsule pour aller jusqu'aux plages de Raudasandur, " les sables rouges ". La route est superbe à l'arrivée quand on découvre la vallée ; des moutons nous accompagnent sur la plage.
- Départ ensuite vers le nord par la piste 63 . On s'arrête à la piscine de Patreksfordür qui est superbement située face au fjord que l'on peut admirer dans son hot pot à 40°. On fait aussi quelques courses et on poursuit la piste qui travers la péninsule vers le fjord suivant. Des paneaux nous indiquent la température et la force du vent : au dessus de 24, on doit s'arrêter. Mais pas de problème , le vent est faible et on peut franchir les pentes à 10%. Les vues sont magnifiques surtout lorsqu'on aborde la descente vers le Talknafjördur le long duquel on cherche notre campement. Finalement, on s'arrête au camping au bout du village de Talknafjördur au camping situé juste derrière la piscine.
Ce matin, un beau soleil nous réveille, le ciel est bleu sans presque aucun nuage ! C'est magnifique !
- On poursuit notre route sur la 63 qui traverse vers le Nord les fjords du Nord Ouest. A Bildudalur on suit la piste 619 qui longe le fjord vers l'ouest, une route en cul de sac en espérant voir des phoques ( qu'on ne voit pas) mais qui nous permet de découvrir de splendides paysages : des plages de sables jaunes au fond des vallées tapissées d'un vert intense, la mer est turquoise et les falaises entourent cet écrin . On s'arrête pour boire un petit nescafé face à la mer, c'est superbe ! Au bout de la route, Selardalur, quelques fermes habitées dans ce lieu isolé, un bloc sanitaire autour duquel on peut camper, et surtout, la maison de Samuel Jonnsonar un artiste un peu curieux qui a construit des drôles de statues pas très belles mais c'est curieux à voir.
- On repart pour notre traversée des fjords en s'arrêtant dans une piscine dont je révait depuis que j'avais vu la photo sur ce site qui m'a bien aidé à préparer ce voyage. Une piscine en pleine nature face à la mer. Elle est alimentée par une source chaude qui se déverse d'abord dans un hot tub juste creusé dans la terre et entouré de pierre : l'eau y est très chaude, mais c'est un vrai régal ! A notre arrivée, des Allemands totalement nus s'y prélassent ! Ils s'excusent de leur tenue ! Il est vrai qu'on se croit seul au monde dans cet endroit, mais en fait, des Islandais vont aussi nous rejoindre dans cette piscine du bout du monde. Par contre, la douche incontournable avant tout bain est ici impossible, la porte est close. Comme l'eau se renouvelle sans cesse grace à la source, on imagine qu'elle reste propre. En tous cas, ce bain assez extraordinaire est un réel plaisir!
Les plaines d'un vert parfois fluorescent là où coulent des sources chaudes, des pitons volcaniques couvert de névés, et la découverte des vallées grandioses en descendant , c'est vraiment fabuleux. Un magnifique cirque glaciare dans lequel coulent des cascades nous attend au débouché sur le Geirfofsfjodur.
- Fjallfoss : En bas de la longue descente en lacets, nous arrivons aux chutes de Dynjandi, une des plus belles cascades d'Islande, un petit sentier bien raide grimpe au pied de la cascade. Par endroit, on dirait du sucre glace soupoudré sur un énorme gateau, c'est magique.
Comme il est encore tôt nous poursuivons la route, toujours aussi splendide d'autant que le soleil brille !
On traverse des champs de lupins, d'un bleu profond et on trouve un endroit pour camper après Thingeyri sur la piste 622, sur la plage. C'est un endroit splendide, le seul inconvénients sont les sternes qui n'ont pas l'air contentes du tout et piquent sur nous avec des cris stridents ! La promenade du soir le long de la plage en est un peu raccourcie.
info utile: au pied des chutes un camping gratuit et de quoi faire un barbecue si on a du charbon de bois !! ... ce qui n'est pas notre cas, dommage, car on a acheté de belles cotes de mouton d'Islande à faire griller...
Ce matin on est réveillé par la pluie et le vent ! Pourtant, des petits coins de ciel bleu se laissent entrevoir entre les nuages.
La route 60 est à nouveau goudronnée à partir de Thingeyri on se croirait dans les Alpes avec tous ces névés qui couvrent les pentes abruptes des montagnes qui entourent les fjords, c'est splendide. On emprunte ensuite le tunel de 6 km qui permet d'atteindre Isafjordur. Il est à une seule voie jusqu'à l'embranchement vers Sudureyki, ce qui est assez impressionnant. Mais nous sommes dans le bon sens, prioritaires, et les 3 voitures que nous croisons se rangent bien avant notre passage dans les emplacements signalés par un M, prévu à cet effet.
La ville d'Isafjordur est construite en partie sur une digue qui coupe le Fjord et au bout de laquelle se trouve le port.
Direction l'office du tourisme pour réserver un tour en bateau avec Vesturferdir. Dommage, le tour de la journée vers les falaises du Hrafnfjödur n'ont lieu que le samedi. On peut trouver en ligne les différentes excursions qu'ils organisent, si c'était à refaire....
On opte pour la visite d'Hesteyri, dernier village habité jusqu'en 1962 de la péninsule desormais déserte. En attendant le départ à 14h on va faire un tour à pied indiqué par l'office du tourisme qui dispose d'une carte des alentours qu'il ne faut pas hésiter à réclamer. Il fait beau on a même chaud. La vue sur la ville ensoleillée est très belle, on pique nique sur les hauteurs, derrière un mur anti-avalanche qui nous protège du vent.
Le trajet en bateau dure une heure et nous permet d'appercevoir quelques langues glaciaires du Drangajokull. Le guide nous fait ensuite faire le tour des maisons du village, de la cloche qui reste de l'église. On a cru comprendre qu'elle avait été démontée pour être remontée dans un village (Sudureyri?) qui en avait besoin. Le village bien qu'abandonné est occupé par des randonneurs qui y campent, c'est le point de départ de treks qui parcourent la péninsule. Grâce au bateau qui se rend sur différents lieux de la cote, les randonneurs peuvent être repris ailleurs à un jour fixé à l'avance. C'est très beau, couvert de fleurs car il n'y a aucun mouton. Des champs d'orchidées sauvages couvrent les pentes douces.
On a droit aussi un café/thé avec des spécialités : pain noir beurré avec une tranche de saucisse de mouton fumé (un plat qui porte bonheur servi lors des mariages) , une crêpe et un délicieux gateau à la rhubarbe qu'on a déjà gouté.
A notre retour nous nous installons au camping face au musée de la mer car nous avons réservé au restau attenant sur les conseils du petit futé qui en fait le meilleur restaurant d'Islande. C'est très typique. Dans une maison en bois, avec de grandes tables en bois autour desquelles tout le monde s'installe, on fait la queue devant d'énormes poêles dans lesquelles se trouvent toutes sortes de plats de poisson et de légume. On commence par une soupe de poisson extraordinaire ! Et ensuite on goûte de tout, arrosé d'un verre de blanc ! Fabuleux ! On regrette que les gateaux mangés à Hesteyri nous aient un peu coupé l'appétit.
On entre en conversation avec nos voisins de table : une canadienne très gourmande et surtout un couple d'Islandais dont le mari semble ravi de trouver des oreilles attentives et il nous fait la conversation dans un anglais auquel la plupart du temps on ne comprend rien, sans pouvoir s'arrêter !
Bref, une soirée très typique, on s'est vraiment régalé!
info: jusqu'ici on a fait 900 Km
Ce matin à notre réveil, un paquebot est en train d'amarrer, c'est vraiment un énorme bateau pour ce petit port ! Une balade sur les quais nous permet d'observer le déchargement d'un chalutier : des caisses de poissons de toutes sortes, convoités par les oiseaux du coin. Un petit avion décolle sous nos yeux en quittant Isafjordur, toutes les petites villes sont ainsi reliées par avion.
On va « faire le Djup », c'est l'expression islandaise pour la route 61 qui longe l'Isafjardardjup en suivant la cote découpée en de nombreux fjords secondaires.
On passe nos 1 000 km avant de s'arrêter à Hvitanes sur le cap qui sépare le Hestfjordur du skotufjordur. Un petit sentier de mousse et de pierre nous mène au bord de l'eau où de nombreux phoques sont installés. On les admire un bon moment avant de reprendre la route.
Un km plus loin nous visitons une ancienne maison restaurée qui présente l'habitat traditionnel des islandais dans de jolies pièces aménagées comme elles l'étaient au XIX e s. On peut y boire un café et y déguster des gaufres qui sentaient délicieusement bon !
La route du Djup est magnifique, d'autant que nous la faisons sous un soleil splendide. Les névés accrochés aux parois des versants abrupts se jetant dans la mer d'un bleu profond,les cascades et les torrents qui s'écoulent sous de jolis ponts de glace, forment un spectacle fabuleux.
Pour la baignade, arrêt à Reykjane ; le cap des vapeurs ! Le batiment est bien défraichi mais la piscine est merveilleuse : très grande, des bancs y sont installés pour pouvoir s'asseoir bien au chaud dans l'eau , un régal. Il fait beau et chaud, on peut rester hors de l'eau au soleil, et je crois même qu'on a pris quelques coups de soleil ! Il paraît que les sources chaudes s'écoulent dans la mer qui est donc chauffée, mais nous n'avons pas vu la crique.
On décide de poursuivre la route pour atteindre Holmavik avant la fermeture du musée de la sorcellerie à 18H, et on ne le regrette pas d'autant qu'il y a des explications en français et que la nécroculotte vaut la visite ! Âmes sensibles, s'abstenir.
Le gardien du musée qui a l'air d'être aussi le cuistot est habillé d'une sorte de short rose tricoté avec un tablier de cuisto par dessus, ainsi qu'une toque curieuse sur la tête ! Il faut dire qu'il fait si chaud, qu'on à du mal à croire qu'on est en Islande !
On trouve un joli coin pour camper un peu au sud, au bord de la mer dans une petite crique où barbotent quelques canards avec leurs petits. C'est très paisible.
Deux moments inoubliables:
Au milieu d'un champs de lave noire, un lac bleu turquoise, et une eau laiteuse juin à 38 ° C dans laquelle on plonge avec délice ... C'est le blue lagoon .
Version "seul au monde" :
Bon d'accord il ya du monde, mais c'est une expérience unique! Lors de notre premier voyage en 1999 nous n'avions pas eu le temps d'y aller, c'était un de mes regrets.
Version " réaliste"
9 juin plats d'une originalité exceptionnelle et aux multiples saveurs, à ne rater sous aucun prétexte! 10 000 ISK (soit 60 euros), cela reste bien moins cher qu'en France pour un repas de cette qualité. On a calé sur Le dernier plat et du coup on a eu droit à 10% de réduction!
Infos pratiques:
restaurant: il faut réserver imperativement. Nous avons été obligés d'attendre le 2e service de 21h30 , mais finalement, c'etait beaucoup, plus calme et le service était rapide.
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